top of page

NIVEAU 3 : PARTAGER DES RESSOURCES DE GALLICA DANS LA SPHÈRE PRIVÉE

La consultation de Gallica ne peut être perçue uniquement comme une activité solitaire face à l’écran. Les Gallicanautes ne se restreignent pas à celles et ceux qui naviguent sur Gallica. Lorsque la question « qu’est-ce qu’un.e Gallicanaute ? » a été posée, une Gallicanaute s’est définie comme « dénicheuse de trésors en ligne » (10). En partageant leurs trouvailles insolites, les Gallicanautes endossent le rôle d’ambassadeur.rice.s de Gallica (9). Cependant, à ce stade, il.elle.s restent encore passif.ve.s ! C’est-à-dire qu’il.elle.s partagent seulement des documents à l’aide de leur URL ou ARK entre ami.e.s, avec leur entourage et leur famille sur les réseaux sociaux ou par mail personnel. 

Une fonctionnalité de Gallica et ses réseaux sociaux encouragent cette pratique de partage. D’une part, lors de la consultation de documents sur Gallica, la fonctionnalité « Partage et envoi par courriel » permet aux usager.ère.s de partager un document, soit en partie, soit en entier, de quatre façons différentes : Copier le code pour intégrer le document dans un autre site web, Partager sur les réseaux sociaux, notamment sur Facebook et sur Twitter, Envoyer par courriel, et enfin Conserver le permalien.

D’autre part, les réseaux sociaux de Gallica valorisent les trouvailles des Gallicanautes par le biais d’un retweet ou d’un hashtag #Gallicanaute sur Twitter, par exemple (6). Cette pratique de valorisation recèle une stratégie de médiation de Gallica. Plus ses usager.ère.s partagent leur expérience de Gallica sur les réseaux sociaux, plus les documents de Gallica gagnent en visibilité sur web. 

bottom of page